Pour Florence (!!) : Le « C » souffre d’abord d’une mauvaise traduction
de l’original anglo-saxon. On a opté pour un «check » synonyme de contrôle
alors que ce quart de PDCA se veut uniquement être une évaluation comparative
entre ce qui est prévu (le P) et ce qui est réalisé (le D). Personnellement, je
lui préfère le « C » de « Comparaison ». En effet, il ne
s’agit pas de faire à toute force ce qui est prévu car la prévision par essence
est fausse surtout lorsqu’elle concerne une planification dans le temps. En
effet, qui peut se targuer de prévoir l’avenir à part les spécialistes de la
boule de cristal ? L’intérêt du « C » est de pouvoir émettre un
avis sur la différence entre ce qui est prévu (le modèle) et ce qui est fait
(la réalité) et, partant de là, d’en tirer une leçon et de réagir (mais cela ressort du
quartier suivant).
Dans les organisations, le « C » est constitué par
les tableaux de bords et indicateurs de tous poils mais avec une logique
précise. Il ne s’agit pas de mesurer tout et n’importe quoi mais de comparer
les modèles qui guident notre activité avec ce qui est réalisé. Pour être plus
clair, le tableau de bord devrait nous permettre de savoir si nous avons fourni
aux clients ce que nous leur avions promis et si cette prestation a été faite
au moindre cout (sans gaspillage aucun). La pertinence se tient là.
1 commentaire:
Super
je suis tout à fait d'accord avec votre explication du C dans le P D C A
Je voudrais connaitre les explication du P,D & A si c'est possible
Salutations;
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