mercredi 27 juin 2012

Le cercle des bloggeurs du management gagnant.


Je pars quelques jours (pas beaucoup hélas) pour le pays de la lavande et du soleil et comme je ne posterai pas de message vendredi, je prends un peu d'avance en commentant l'article de Christian Oyarbide sur la RSE (cosmétique ou  levier de changement).

Mon cher Christian tu as raison de retenir quelques principes de bon sens de ce texte complexe qu’est l’ISO 26000 sur la responsabilité sociétale.
Par exemple se mettre d’accord sur la nécessité absolue d’avoir des entreprises qui produisent parce que je ne comprends pas moi non plus la tendance au non travail sous prétexte que cela fatigue (on le sait depuis longtemps et Pierre Dac le rappelait encore récemment : « Le travail n’est pas fait pour l’homme, la preuve ça le fatigue ! ». Si on ne travaille pas, on ne consomme pas ou bien alors il faut faire travailler les autres et cela porte un nom (esclavage ou un truc comme cela n’est-ce pas ?).
Par exemple faire travailler des sous traitant locaux, permet effectivement de satisfaire à la plupart des exigences de ce texte parce que jusqu’à preuve du contraire l’Europe et la France demeurent des contrées respectueuses des droits de l’homme.
Par exemple arrêter les discours et passer aux actes. Quand je balance à la déchetterie mon lave linge ou mon lave vaisselle parce qu’une petite pièce électronique de merde ne fonctionne plus et que tout le reste est encore bon (cuve inox, parois émaillées, moteurs électrique (que l’on sait fabriquer pour durer dix ans en fonctionnement continu)) et que cela coute plus cher de faire faire un devis au SAV que d’acheter un nouvel équipement et que les mêmes qui fabriquent lesdits matériels affichent de grandes déclarations de développement durable, je lance un cri. Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.
Mais pourquoi je m’énerve ainsi moi, c’est pas bon pour les artères la surtension !!
Il faut aussi arrêter de faire de l’intégrisme en matière de responsabilité sociétale et ne pas toujours vouloir donner des leçons aux autres qui se marrent en regardant notre PIB et notre endettement. Allons doucement mais sûrement aurait dit ma chère grand-mère.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Que je souscris !