Le Do du PDCA n’est pas souvent un thème qui pose problème
car il correspond aux activités exercées par tout un chacun dans son
quotidien. En principe, nous ne nous
posons pas de question sur le travail que nous effectuons. Il nous a été
expliqué par celui ou celle qui nous a précédé au poste ou bien encore par
notre patron et nous l’avons arrangé au fil des années en fonction des
circonstances et de nos souhaits de confort. Cette absence fréquente de remise
en question est le drame du Do. En effet, le sens de notre travail devrait être
donné par une contribution à la prestation apportée aux clients ou par une
satisfaction à une quelconque contrainte légale ou réglementaire. Hélas (ou
tant mieux, cela dépend du coté de la lorgnette où l’on se situe) le travail
est souvent la conséquence d’arrangements personnels. Et puis, la nature ayant
horreur du vide, il faut bien s’occuper. Le travail, c’est un peu comme un gaz,
il occupe l’espace disponible. Nous sommes tous surchargés ou « over
bookés » selon que l’on habite un chef lieu de province ou une capitale et
cette situation vient parfois d’un manque de discernement entre ce qui est
accessoire et ce qui est capital.
Mais ne nous éloignons pas de notre sujet et heureusement
qu’il existe les audits internes pour nous ramener dans le droit chemin de la
performance.
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