mercredi 8 juin 2011

Processus : activités et données de sortie (fin (provisoire)).


Ah, dernière chose, vous constaterez aussi que j’ai décrit un processus sans entrer dans la manière dont il fonctionne. Je ne me suis pas posé la question de savoir comment il fallait remplir la machine à laver, ni la mettre en route, ni la régler, ni l’arrêter, ni sortir le linge.
Je n’ai pas, comme le font habituellement (à tort) ceux qui entrent dans une démarche d’organisation, commencé par écrire dans le détail toutes les pratiques de travail.
Ce n’est pas le problème des clients. En revanche, si vous êtes le chef de la machine (ou le pilote de ce processus), cela peut être utile mais chaque chose en son temps comme disait ma chère grand-mère et nous verrons cela plus tard.
Un processus existe parce qu’il remplit une mission. Il produit quelque chose pour des clients qui en ont besoin. En conséquence les données de sorties doivent correspondre à ce besoin et bien entendu les clients doivent être connus ou identifiés. Il doit y avoir un accord entre ce que le processus produit (ses données de sorties) et ce que le client du processus souhaite. Il doit y avoir une sorte de contrat même si celui-ci n’est pas formalisé.

J’oubliais. Un lecteur m’écrit :
- J’ai un peu de mal à distinguer les ressources des données d'entrée ?
D’abord, ce n’est pas grave et ensuite vous pouvez faire le distinguo entre les deux familles d’éléments en vous disant qu’une ressource ne subit généralement pas de transformation (hormis une usure normale et naturelle), c’est le cas des équipements, des infrastructures et des individus qui travaillent.

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