mardi 8 mars 2016

Holacratie ou l'entreprise libérée (saison 6)



Il faut une vision citoyenne et un vrai contrat pour que ton travail apporte une vraie valeur ajoutée au citoyen que tu es censé servir même et surtout si tu exerces une activité contraignante de contrôle. La question de l’utilité et du sens est primordiale dans les métiers de la fonction publique territoriale ou d’État. D’autant plus que la libération d’une organisation produit des effets secondaires qu’il faut savoir gérer comme la disparition de postes hiérarchiques devenus inutiles du fait de l’initiative et des pouvoirs que tu accordes aux personnels de terrain (agent ou opérateurs). Cela signifie quelques problèmes d’emploi à régler au niveau de l’encadrement des catégories B et A.

Bref, je ne sais pas comment font les Belges pour résoudre ces problèmes ni même s’ils les ont résolus mais en ce qui me concerne, je les mets de côté pour l’instant et nous allons nous consacrer à la libération des entreprises du secteur privé ce qui constitue déjà un joli sujet de réflexion.  Pour la fonction publique, peut-être que nos cogitations fourniront des pistes en ce sens.
   

1 commentaire:

Unknown a dit…

L'holacratie n'est pas la même chose que l'entreprise libérée. Selon Robertson, le concepteur de l'holacratie, celle-ci se comporte comme un système d'exploitation pour l'organisation, sur lequel on,peut greffer toute sorte de type de management. Quant à l'EL, elle n'est pas technique ni soumise à des processus strictes, elle recentre l'organisation sur la confiance et l'émotion. Ceci n'engage que moi, bien entendu :)