Dans une pratique d’audit ou d’évaluation, nous n’avons pas
la prétention de détecter par nous-mêmes ce qui ne va pas ou ce qui pourrait
être amélioré (ce qui revient au même). Nous sommes beaucoup plus efficaces dans un rôle de révélateur
(catalyseur) de dysfonctionnement que dans un rôle de détective. Nous devons
aider l’audité à être « le » spécialiste en lui faisant prendre
conscience de ses lacunes et de ses faiblesses (celles de son organisation bien
sûr).
La plupart du temps, les écarts qui génèrent des
améliorations sont donnés par les audités qui se laissent aller à des
confidences et vous exposent (confient) leur problèmes. D’où la nécessité de
mettre la confiance dans la relation. Ce serait beaucoup plus fatiguant s’il fallait
les torturer.
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