Ma grand-mère disait :
« Il n’y a que celui qui ne fait rien qui ne se trompe jamais. »Elle faisait cependant une exception chaque fois que son mari (mon grand père) cassait un verre en le rangeant (rarement) ou faisait une erreur dans les comptes familiaux.
Au boulot, nous devrions accepter l’erreur comme un moyen d’apprendre et de progresser. Nous sommes responsables de nos actes mais pas coupables (pour reprendre un mauvais jeu de mots d’un ancien ministre à propos de l’affaire du sang contaminé) lorsque que nous commettons une gaffe ou une bévue (pour employer des mots gentils). Il serait intéressant dans nos démarches qualité d’apprendre à enregistrer les dysfonctionnements et les problèmes (dixit l’enregistrement des non-conformités) sans état d’âme et à s’engager dans des actions correctives qui seraient des apprentissages. Il faudrait bien évidemment savoir reconnaitre les causes humaines (elles sont à l’origine de 99% des problèmes) sans culpabiliser et apprendre les compétences ou les bonnes pratiques qui éviteront l
a récurrence.
« Errare humanum est, perseverare diabolicum »
Une autre façon de voir les choses :
« La manière d'accélérer votre succès, c'est de doubler votre taux d'échec. »
c’est de Thomas John Watson. Oscillant, non ?
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