lundi 22 février 2016

Holacratie ou l'entreprise libérée (saison 2)



Un de ses apports intéressant (à Isaac Guetz), que j’ai découvert dans une de ses vidéos, est très certainement l’identification de besoins supérieurs de l’être humain, au-delà de la pyramide de Maslow que tu connais mieux que moi. Il affirme, et je le suis, que les besoins exprimés dans cette vieille pyramide sont satisfaits avec des outils qui aujourd'hui se nomment « conventions collectives ». Il explique que le premier des besoins d’ordre supérieur est l’égalité intrinsèque c'est-à-dire la nécessité de traiter tous les employés avec considération, respect, bienveillance et confiance (on peut jeter un œil sur sa vidéo avec le lien suivant :
Et ceci constitue la première étape d’un management holacratique. Il faut faire la chasse à tous les signes d’iniquité sociale. Tu veux un exemple : les places de parkings. Peux-tu m’expliquer pourquoi ton patron dispose d’une place de parking réservé ? Ah, les cadres aussi ?
Peux-tu m’expliquer encore pourquoi dans certains secteurs on pratique une liberté d’horaires et dans certains autres on est tenu d’arriver et de partir à des heures précises ?
Cela s’explique par des nécessités de services, comme dans un accueil par exemple ?
Ah, tu as sans doute raison mais ce n’est pas très équitable, avoue-le. Si tu as des enfants à récupérer à la sortie de l’école le soir, tu ne pourras pas le faire toi-même alors que ton collègue de bureau aura cette possibilité. Il y a peut-être quelques réflexions à engager sur ce sujet non ? 
    

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