En matière
de management de la qualité, tu sais qu'il faut faire tout ce qui est possible
pour identifier les prestations fournies ou vendues par ta boutique et qu'il
faut en informer tes clients en toute transparence. Éviter les clauses
particulières qui sont formulées de manière ne pas être comprises ou bien
cachées en petits caractères dans des pages des contrats que l'on ne lit jamais.
Au contraire, une démarche de management de la qualité devrait montrer les
risques les plus fréquents de problèmes et préciser les limites de la relation.
Dans les établissements sociaux et médicosociaux par exemple, l'habitude est
prise d'établir une documentation très fournie en ce sens. On y trouve des règlements
de fonctionnement, des livrets d'accueil, etc. Mais on peut imaginer aller
encore plus loin, par exemple en enregistrant toutes les réclamations, litiges
et problèmes et en les prenant en compte pour mettre à jour les contrats.
Lorsque j'utilise
le mot « contrat », cela ne signifie pas forcément "document à
signer". Le contrat est la spécification, la description du service dans
toutes ses phases, depuis le premier contact entre le client et ton organisme
(contact qui peut être à distance via une publicité,
une information, un journal, un site web, etc.) jusqu’à la fin de la relation
en incluant le cas échéant le traitement des litiges encore possibles malgré la
qualité et la performance de ton entreprise. Le client doit être rassuré sur
ce qui se passera en cas de problème. j'emploie le terme
« rassuré » bien que les conséquences d’un litige puissent parfois être
terribles pour le client mais il faut qu’il le sache et qu’il décide ensuite en
connaissance de cause.
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